C’est désormais une habitude, le club était éclaté aux 4 coins de la France, voire du monde, car certains étaient même dans le Jura.
A commencer évidemment par le 50km libre des mondiaux de Seefeld. En effet, Tao est encore au turbin du test de glisse pour les meilleurs français du monde. Avec moins de réussite que sur le relais bronzé vendredi, les français finissent à la peine cette fois. Les rouges placent encore un bizuth de victoire 2019 au top, Holund bonjour. Meilleur français, Duvillard en resuection tout de meme, reste 27eme. Mais le vrai truc triste dans tout ca, c’est que le prochain grand rendez vous du fond est dans 719 jours.
Thibaut, notre entraineur des filles en équipe de France était au Brassus en Suisse pour une coupe OPA. Ses filles, après avoir brillé aux mondiaux sur le relais (8e), réalisent encore de belles perfs. Bien sur, sur cette coupe, nous avons suivi avec la même attention que Froome pour son capteur de puissance les perfs d’Olivier. Encore un top 10 le samedi et placé (14e) le dimanche. C’est un peu comme Nadal qui remporte Roland Garros, on s’habitue trop vite aux belles perfs.
Jérémie, notre distanceur chevronné comme une structureuse, était quant a lui sur la mythique traversée du vercors en équipe avec le queyrassin Paul Goalabre. Une neige de feu de glace qui fond et qui propulse les skis ont poussé les 2 compères en position de fuyards, sans même un peloton derriere pour mener une chasse pour ses sprinteurs. Etpour cause évidemment, le peloton était dans le Devoluy. Une victoire haute alpine dans le Vercors, c’est toujours du bon, sur une des plus ancienne course française.

Les U15 étaient eux aux Championnats de France au Col de Porte. Samedi, on s’est retrouvé sur une épreuve de natation en mer. Piste très exigeante, neige en forme de soupe de potiron. Sans allonge ni accroche, le petit groupe de Gap Bayard a mesuré le travail a accomplir pour accrocher les maîtres de la discipline en classique. La traversée Brest-New York s’est faite, mais dans la douleur. Et ce n’est bien sûr pas au biathlon que l’église est revenue au centre du village, puisque nous réalisons deux 0/10! Notons tout de même que sur les skis, la vengeance était de mise, la bave coulait et le 1temps était de sortie, et ça ça vaut déjà cher! Gaspard sort dare dare son petit 10/10 pour sortir 61ème. En définitive, des compétitions très dures, mais de quoi se motiver pour replonger au turbin cet été et revenir au dessus l’an prochain. Et puis un super week-end de France en compagnie des autres clubs AP, et de bons échanges et rencontres. La suite des affaires du groupe U15 sur la Coraline le week-end prochain, sur les France des Clubs le 24/03 et sur les Saisies le 7 avril! Il reste quelques beaux morceaux a manger. En attendant la prépa estivale!

Le Dévoluy accueillait le peloton Gap Bayard sur sa traversée. Lancés à la poursuite de Mille, ils ont quand même réussi la terrible montée de… LA BOITE. Chloé, 3ème scratch a bien failli faire mieux puisqu’elle talonne Delphine Roux du Queyras. Mais pas encore Coraline Thomas Hugues, de retour à la compète après accident. Idem pour Nico (3ème sénior) et Robin (1er U20) qui se sont tiré la bourre en forme de choc de générations. L’ancien finit devant, mais c’est les jeunes qui gagnent la palme en la personne de Théo Monnet (Montgenèvre VC). Tir groupé encore derrière avec Sylvain qui matte les 2 jeunes Dorian puis Tom. Le choc suivant revient encore à l’inusable Chris Marquet au lancé de ski devant Sam. La roulette, toujours la roulette, et loin devant! Et encore un peu plus loin, le président Daniel coiffait Bernard d’un peigne de 18s. Steffi et Loïc, le couple bagarreur, termine encore ensemble bave aux gants, 4è et 22è scratch respectivement. Du côté des cadébiles, c’est Eli du SCOCE qui empoche les bonbons devant Jules au sprint. Victor affamé jette aussi le pied pour gagner le chocolat, on le reconnaît bien là.

Pour finir, nous étions bien aux avant-postes encore une fois. Trop pris par les événements internationaux, nous n’avons pu aligner personne sur la Vasaloppet, mais ce n’est que partie remise, les scandinaves doivent souffler.